Qu’est ce qu’Open Tech Therapy ?

Open Tech Therapy, c’est :

  1. Une veille technologique constante pour proposer, à ceux qui débutent avec les logiciels libres, les solutions logicielles optimales selon leurs besoins : fondations au modèle économique pérenne (Mozilla par exemple => navigateur Firefox) et entreprises qui ont fait le choix de l’open source sont privilégiées, de par leur support technique facilement disponible et en français.
  2. Miser sur les compétences d’un «hacker» (entendre l’étymologie «bidouilleur»), pour reprendre le contrôle de son matériel, en dehors du giron des Géants de la Tech (les «GAFAM» - Google Amazon Facebook Apple Microsoft, et leurs pendants asiatiques (les «BATX»)). La lutte contre l’obsolescence programmée fait partie de mes missions, aux côtés du droit à la vie privée et de la souveraineté numérique.
  3. Une expertise multi-système (GNU/Linux, macOS, Windows) et un éventail de logiciels multiplateformes (disponibles sur chacun des 3 systèmes cités), afin que quelque soit le système sur lequel je suis, mon application ne soit pas corrélée spécifiquement à macOS ou Windows par exemple. Ce pour que ma transition vers GNU/Linux - si tel est mon choix - soit facilitée; ou bien que je ne sois pas enfermé.e dans un écosystème unique et exclusif.

 

Qui est derrière Open Tech Therapy ?

Clément T, précédemment Technicien Informatique expérimenté en Qualité Logicielle. Bidouilleur de matériel et de logiciel, qui a ha-ckeur un idéal de liberté numérique légitime.

Je suis également engagé en tant que : 

  • référent du collectif Librezo à Nantes : réseau d’entraide entre professionnels indépendants des logiciels libres, et maillage de l’offre en la matière, à niveau national
  • partenaire et contribueur actif de Wikilibriste

 

Qu’est qui différencie Open Tech Therapy d’un dépanneur informatique, ou un Ingénieur Informaticien avec un parcours conventionnel ?
Son offre novatrice d› Accompagnement en transition numérique éthique, spécifique au profil de «hacker» de son fondateur : 

👉 S’émanciper des Géants de la Tech : 

  • sur ordinateur : installation et initiation à un système d’exploitation résilient (3 à 4 fois plus léger que Windows ou macOS, aucune logique d’obsolescence) et non intrusif => GNU/Linux !
  • sur smartphone : version spécifique d’Android (système AOSP durci), libérée de l’écosystème Google avec des alternatives open source, et améliorée pour vie privée & sécurité
  • sur tout matériel : découvrir et utiliser les logiciels (libres et) open source 
     

👉 Développer une hygiène numérique à long terme : 

  • améliorer la sécurité : durcir le système d’exploitation, protéger le réseau (parefeu, VPN), être son propre hébergeur de données
  • améliorer la vie privée : retirer ou bloquer les pisteurs (Windows, macOS, Android «standard» du commerce); utiliser le chiffrement au quotidien (messageries, services clouds…); privilégier les applications et systèmes d’exploitation libres et open sources, exempts de pisteurs; choisir un hébergeur transparent, respectueux de la neutralité du net et la vie privée

👉 Déjouer l’obsolescence programmée à niveau : 

  • matériel : mise à niveau batterie, barrettes mémoires et SSD
  • logiciel : 
    • GNU/Linux pour redonner vie à mon fidèle compagnon numérique 
    • macOS Sonoma ou Windows 11 sur appareil non supporté (débridage logiciel) + retrait des pisteurs (voir ci-haut)

👉 Et ce n’est pas fini : 

  • récupération de données 
  • ateliers d’initiations 
  • et plus encore…

 

Le mot de la fin :

Pourquoi «Open Tech Therapy» ? Quelle en est la signification ? 

Open tech Therapy, c’est pour «Thérapie de Technologie Ouverte».
Mon offre se veut un remède à une société de monopoles, basée sur le «capitalisme de surveillance». Autrement dit, comment a été banalisée une société où contrôle et surveillance généralisée sont la contrepartie d’un service. Où le ConsommAteur est dépossédé de son pouvoir de Consomm’Acteur… Et où la frontière entre corporations et services de renseignements étatiques se fait de plus en plus floue.

La vie privée est un droit légitime, et lorsque l’on n’a «rien à cacher», cela veut-il dire qu’on n’a rien ni personne à protéger ?

Plutôt que de pointer les seuls problèmes, je me propose d’y apporter des solutions concrètes.

 

Grille tarifaire :